Aux livres de nos vies, aux chapitres de nos amours,
Souffle, souffle le vent ténu du temps qui passe.
Parfois les pages tournent sans crier gare.
Croyant écrire ton histoire tu t’égares.
C’est là que la vie te rattrape et te dis: « Petit, fais pas d’histoires ,
Toi tu ris, tu pleures,tu causes,
Tu survis quoi, tu prends la pause.
Le fil de tes jours, l’heure de tes amours, c’est moi qui en dispose ».
Au chevet de notre vie, à l’enterrement de notre amour,
Souffle, souffle le vent mauvais de la vie qui lasse.
Parfois les pages se déchirent sans prévenir, Et c’est le dernier mot,
La fin de l’histoire.
Parce que c’est ainsi. Parce qu’elle n’est pas belle la vie.
Juste cruelle, merci.
Oh ta gueule, ça suffit.
Au présent de cette vie, il y a la vie et
Chante, chante le vent, le vent inouï de la vie qui rit.
Et volent les pages, s’envolent vers les nuages,
Parce qu’on sait jamais quand se finit un présent sans cesse renouvelé.
C’est juste ça qu’il faut chercher.
Suffit de respirer.
A reblogué ceci sur Rhumeurs d'Hailleurset a ajouté:
Yes, l’instant présent
J'aimeJ'aime